Valère Novarina

L'opérette imaginaire


Grande salle

Distribution :
Anna Ráckevei
Nelli Szűcs
Kinga Újhelyi
József Jámbor
Árpád Kóti
Attila Kristán
Tibor Mészáros
József Varga
Artúr Vranyecz

Les « ouvriers dramatiques » : Sándor Horváth, István Leskó
Musiciens: Lajos Pál (accordéon), Anna Tálas (violon), László Csonka (clarinette)



metteur en scène
Valère Novarina
 
conseiller dramaturgique
Zsófia Rideg
 
scénographe
Philippe Marioge
 
costumier
Borbála Kiss
 
musique originale
Christian Paccoud
 
adaptation musicale
Cecília Szentai
 
conception des lumières
Paul Beaureilles
 
lumières
András Csillám
 
chorégraphie
Péter Gemza
 
collaborateur artistique
Adélaïde Pralon
 
assistant
Csaba Jóvér
 
régie plateau
József Karl
 
souffleur
Zsuzsa Pethő

Date de la création: 11 décembre 2010
Valère Novarina est né en 1947, après des études de philosophie et de philologie à Paris, il écrit un essai sur Antonin Artaud, lit pendant une année la Divine comédie, prévoit d’écrire une thèse de doctorat sur Adolphe Appia, puis sur Louis de Funès. Ses oeuvres sont publiées aux éditions P.O.L. à partir de 1984. N’ayant pas trouvé au début de metteurs en scène pour ses pièces, et grâce aux encouragements de ses étudiants, il fait enfin le grand pas et, à partir de 1986, met en scène ses propres pièces. Ainsi sera présenté Le drame de la vie, avec ses 2587 personnages, au Festival d’Avignon qui accueillera par la suite la plupart de ses pièces. Graphiste et peintre, il combine ses différentes activités sur la scène des théâtres, pour créer une oeuvre poétique originale. Ses pièces sont traduites et jouées partout en Europe, ainsi qu’aux États-Unis, en Russie et en Amérique Latine.

« Qu’est-ce qu’une opérette ? »
C’est un diminutif. Une version raccourcie sans le moindre maquillage théâtral. Un drame dense, libéré des émotions humaines. L’opérette est née de sauts ; coupures et combines brusques, et ce qui reste après l’érosion c’est la partie dure : les éclats du rythme, les traversées des forces, le squelette structurel, les émouvants restes humains. (...) La musique monte puis descend: l’opérette est retournée sens dessus dessous...

(Novarina : L’Opérette réversible; résumé)