Vacation from History


Maison Tranzit


conception
Boris Bakal
 
mise en scène, texte
Boris Bakal, Katarina Pejovic
 
conseiller dramaturgique
Katarina Pejovic, Boris Bakal
 
metteur en scène
Katarina Pejovic, Boris Bakal
Auteurs et performeurs: Damir Klemenic, Jelena Lopatic, Bojan Navojec, Marija Skaricic, Stanko Juzbasic, Katarina Pejovic, Boris Bakal

Collaborateurs (scénographie, costumes, support technique): Zeljko Zorica, Barbara Blasin, Stjepan Filipec, Sinisa Jakovcevic, Martina Franic, Milan Zerjav, Tomislav Pavlic

Date de la création: 03 décembre 2010
Prix:
• Cloud – main festival award at PUF – (Pula International Theatre Festival, 2010)
• Avaz Dragon Award (as part of the trilogy Process_City) - MESS (Sarajevo International Theatre Festival, 2008)
• Special Jury Award and Second Audience Prize - BITEF (Belgrade International Theatre Festival, 2009)

Le spectacle est la première partie de la trilogie Process_City inspiré du roman Le Procès de Franz Kafka et de ses implications philosophiques et politiques.
Vacation from History est un commentaire méta(physique) de l’oeuvre de Kafka : un voyage aux lisières de la conscience collective et individuelle, à travers les contrées du rêve et de la mort, seuls endroits où l’on peut se réfugier devant l’histoire.
Inflation de l’information + déficit de temps = entropie des critères d’intérêt et substance sensible. Dans cette équation diabolique, comment doit-on modeler son propre histoire – celle qui, dans la somme d’une multitude d’histoires personnelles, fournit avec une certitude extrême une vision différente d’une époque – pour que ses critères puissent maîtriser cette entropie?

(Katarina Pejovic)


Le groupe Shadow Casters nous place dans le contexte de la communication de l’enfance; dans au temps des contes pour aller dormir, au temps où les parents nous mettent dans au lit et se glissent hors de la pièce Dans laquelle les petits s’endorment.

(Nataša Govedić, Novi list)


Un conte de fées magique sur la lisière entre rêve et réalité, où le public – démuni du rituel usuel du théâtre et de la distance du spectateur – participe de tout son être. (...) Ce qu'il nous reste à faire est de chercher à atteindre les images de la vraie histoire de nos propres vies dans l’état du brouillard semiconscient. La manière dont ces images sont réalisées est vraiment impérieuse : profondément romantique et terrifiante en même temps.

(Bojan Munjin, Feral Tribune weekly)