Spectacle studio sur la grande scène
Yvonne
Gizella Kicsid
Le Roi Ignace
Levente Nemes
La Reine Marguerite
Zsuzsa Gajzágó
Le Prince héritier Philippe
László Mátray
Le Chambellan
Tibor Pálffy
Isobel
Ágnes Benedek
Cyrill
Alfréd Nagy
Cyprian
József Kolcsár
1ère tante d'Yvonne
Gizella Molnár
2ème tante d'Yvonne
Szidónia Krizsovánszky
Innocent, courtesan
Gábor Erdei
Valentin, laquais
József Nagy Lázár
Le Chancellier
Mihály Kőmíves
Le Maréchal
László Veress
Le Magistrat
Károly László
1ère courtisane
Mária Fekete
2ème courtisane
Hajnalka Szalma
3ème courtisane
Eszter Nagy
4ème courtisane
Fatma Mohamed
Le Mendiant
László Darvas
assistant du metteur en scène
Attila Diószegi, Alfréd Nagy
assistant du conseiller dramaturgique
Csongor Czegő
scénographe
József Bartha
costumier
Judit Dobre Kóthay
musique originale
Diószegi Attila, Nagy Alfréd
conseiller chorégraphique
Fatma Mohamed
images vidéo
Sándor Sebesi
régie plateau
Edit V. Bartha
souffleur
Mária Magdolna Máthé
metteur en scène
László Bocsárdi
Date de la création: 08 décembre 2010
Le spectacle a remporté le Grand Prix du Ministère de l’Education et de la Culture lors du Festival des théâtres hongrois de l’étranger ; en 2009 il a été nominé par l’Union Théâtrale de Roumanie pour les prix de cinq catégories (meilleur spectacle, meilleur metteur en scène, meilleur scénographe, meilleur comédien). Tibor Pálffy a obtenu le Prix de la Critique de théâtre pour le meilleur rôle secondaire masculin de l’année 2008, ainsi que le prix du meilleur rôle secondaire masculin au 8-ème Festival National de Théâtre de Pécs (Hongrie) et au Festival International Gombrowicz en Pologne. Gizella Kicsid a remporté également un prix pour sa prestation au même Festival International Gombrowicz.
Le genre de spectacle où, à la fin, avant de commencer à applaudir, on s’essuie discrètement le coin de l’oeil. Et on se tait.
(Alice Georgescu, Ziarul de duminică)
László Bocsárdi a mis en scène la pièce de Gombrowicz en faisant un spectacle coloré, riche, qui apllique les différents éléments d’impact avec une assurance inouïe, porteur de significations ambivalentes, un spectacle très fort. (...) Mais en même temps Yvonne se transcende : le spectacle esquisse l’image d’un langage théâtral qui semble s’épanouir et se cristalliser, et d’une compagnie qui le met en pratique avec dévotion et avec une aisance professionnelle souveraine.
(Urbán Balázs, Színház)